J'aimerais pleurer Hallelujah by liltiz, literature
Literature
J'aimerais pleurer Hallelujah
et le cœur fendu goutte à goutte s'écoule
imbibe le pull noir
et le cœur percé pensée après pensée imagine l'eau à la source
eau de la source pure, déjà s'est envolée
entre les mailles du pull noir, sont attrapés les terreurs et les rêves / nightmare / et les chiffres doucement empêchés.
entre ses mains glacées, en vain elle contient l'eau, et le sable s'enfuit / un sanglot dans la nuit / et le sang noir, et les larmes irisées ainsi d'échappent sans retour de ses deux mains glacées.
elle aimerait simplement s'agenouiller au bord du chemin et sortir de son grand sac une à une l
La petite main, chaude et fragile de la fillette reposait, confiante, dans la fine main de son aînée. Les deux mains s'agrippaient : chacune des enfants recherchait dans l'autre chaleur et gaîté, un abri contre le mur froid et gris qui s'ouvraient sous leurs pas, contre les champs bruns qui s'étiraient à leurs pieds. Les deux petites filles marchaient lentement au milieu de la sinistre campagne, sans repère et sans fin. Et cependant elles marchaient, transportant avec elles leurs rêves et leurs espoirs, leurs désirs et leurs peurs. Et cependant elles marchaient.
Chacune à leur tour, pour oublier les inconvénients du voyage, elles racontaie
Une fois de plus, j'ai confronté le rêve des Hommes avec ma réalité. Et je reste malade, blessée. Meurtrie par ma vie, insignifiante et désespérée. Pourquoi donc quand le monde s'écroule autour de moi chancelle, je tombe avec, dévale les escaliers ? Punis ceux qui auraient aimé comparer. Parce que leurs vies, là-bas, pâtes de mouche sur papier blanc me restent dans les mains. Insolente matérialité du rêve. Parce qu'il se vend au poids, nombre de lignes, 1500 chansons et 60 images par minute. Et moi je compare cette petite pile de dollars bien rangés avec l'immensité de mes cartouches d'encre. Et oui, je peux aussi fabriquer la vie de personn
Comme un coup de couteau, comme un zéro sur vingt,
Je reçus, bouleversée, ton regard acéré,
Par ta bombe atomique, mon coeur fut dévasté,
J'ai crié, j'ai hurlé, ça n'a servi à rien.
Déjà tu repartais vers d'autres lendemains
Emportant avec toi mon esprit subjugué,
Emportant loin de moi ce bonheur désiré,
Déjà tu t'éloignais pas un autre chemin,
Mon âme éparpillée par tes yeux destructeurs,
Tes yeux serial-killer, tes beaux yeux de tombeur.
J'étais là, je t'ai vu et j'ai été vaincue.
Dans le noir de la salle, tu disparais : déjà?
C'est fini. Tu n'es plus. Hélas ! je suis perdue.
Jusqu'à ton prochain film, je n'y survivrai pas.
Goldfish
Un carré tourne et s'affole, ronde folle dans ma tête. Je cherche désespérément des mots à relier - skyline _ pour glisser, légère, sur le fil des toits, pas à pas. Trébuchons _ ivresse / à l'infini
.
.
.
.
.
BANG
Atterrissage, mots découpés
Brouillard de mots, Un brouillard de… Café crème
Fatigue et verres entrechoqués
J'aimerai effacer le tableau de ma vie, avec une éponge mouillée. Pour ne plus pouvoir écrire derrière, un cours instant, se cueillir à nouveau. recueillement. Chuuut, elle dort.
Sans résultat final.
J'aimerai… réussir à rêver, m'envoler, décoller les pieds et les laisser crier. « Regarde Maman, il
Une fois de plus, j'ai confronté le rêve des Hommes avec ma réalité. Et je reste malade, blessée. Meurtrie par ma vie, insignifiante et désespérée. Pourquoi donc quand le monde s'écroule autour de moi chancelle, je tombe avec, dévale les escaliers ? Punis ceux qui auraient aimé comparer. Parce que leurs vies, là-bas, pâtes de mouche sur papier blanc me restent dans les mains. Insolente matérialité du rêve. Parce qu'il se vend au poids, nombre de lignes, 1500 chansons et 60 images par minute. Et moi je compare cette petite pile de dollars bien rangés avec l'immensité de mes cartouches d'encre. Et oui, je peux aussi fabriquer la vie de personn
La petite main, chaude et fragile de la fillette reposait, confiante, dans la fine main de son aînée. Les deux mains s'agrippaient : chacune des enfants recherchait dans l'autre chaleur et gaîté, un abri contre le mur froid et gris qui s'ouvraient sous leurs pas, contre les champs bruns qui s'étiraient à leurs pieds. Les deux petites filles marchaient lentement au milieu de la sinistre campagne, sans repère et sans fin. Et cependant elles marchaient, transportant avec elles leurs rêves et leurs espoirs, leurs désirs et leurs peurs. Et cependant elles marchaient.
Chacune à leur tour, pour oublier les inconvénients du voyage, elles racontaie
J'aimerais pleurer Hallelujah by liltiz, literature
Literature
J'aimerais pleurer Hallelujah
et le cœur fendu goutte à goutte s'écoule
imbibe le pull noir
et le cœur percé pensée après pensée imagine l'eau à la source
eau de la source pure, déjà s'est envolée
entre les mailles du pull noir, sont attrapés les terreurs et les rêves / nightmare / et les chiffres doucement empêchés.
entre ses mains glacées, en vain elle contient l'eau, et le sable s'enfuit / un sanglot dans la nuit / et le sang noir, et les larmes irisées ainsi d'échappent sans retour de ses deux mains glacées.
elle aimerait simplement s'agenouiller au bord du chemin et sortir de son grand sac une à une l
Et ce matin, ce calme, esprit apaisé, phrase envolée. La ville était revenue aux dimensions des hommes, dans le calme du matin, elle s'était accordée au ciel, pour une fois. Elle s'était faite à mes pensées, cela marchait au rythme de mes pas. Dans le silence du temps, dans le calme de mon esprit, dans la lente marche de la ville, j'étais.
Parfaitement bien.